Selon l'Office national de la Protection civile (ONPC) qui rapporte l'information citant les témoins, les faits se sont déroulés, le lundi 15 avril 2024, dans la dite localité.
La gamine, élève au primaire, a l’habitude à sa descente des cours, d’aider sa mère à la vente d’attiéké au corridor d’Assouba, un village situé à 7 kilomètres d’Aboisso, explique l'ONPC.
"Ce jour-là, sa mère l’envoie faire la cuisine du soir pendant qu’elle continue son petit commerce. Mais n’ayant plus d’eau, la fillette décide, aux dires des voisins, de s’en procurer dans un puits situé non loin de la maisonnée", ajoute la source.
Le temps passe et sa mère inquiète de l'absence prolongée de la petite écolière, en informe le voisinage et ensemble, entreprennent des recherches qui s'avèrent dramatiques.
''C’est avec effroi qu’ils découvrent son corps inerte, gisant dans une mare de sang dans une maison inachevée", relate l'Office national de la protection civile.
Les pompiers civils du Sud-Comoé alertés, vérifient les constantes de la fillette et font appel à la police qui joint un médecin légiste. Ce dernier confirmera ensuite le décès de la pauvre fillette. La police a aussitôt ouvert une enquête pour retrouver le ou les auteurs de ce crime odieux.
La gamine, élève au primaire, a l’habitude à sa descente des cours, d’aider sa mère à la vente d’attiéké au corridor d’Assouba, un village situé à 7 kilomètres d’Aboisso, explique l'ONPC.
"Ce jour-là, sa mère l’envoie faire la cuisine du soir pendant qu’elle continue son petit commerce. Mais n’ayant plus d’eau, la fillette décide, aux dires des voisins, de s’en procurer dans un puits situé non loin de la maisonnée", ajoute la source.
Le temps passe et sa mère inquiète de l'absence prolongée de la petite écolière, en informe le voisinage et ensemble, entreprennent des recherches qui s'avèrent dramatiques.
''C’est avec effroi qu’ils découvrent son corps inerte, gisant dans une mare de sang dans une maison inachevée", relate l'Office national de la protection civile.
Les pompiers civils du Sud-Comoé alertés, vérifient les constantes de la fillette et font appel à la police qui joint un médecin légiste. Ce dernier confirmera ensuite le décès de la pauvre fillette. La police a aussitôt ouvert une enquête pour retrouver le ou les auteurs de ce crime odieux.
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